Ma solution est simple : on divise les salariés en deux catégories : les titulaires d'un emploi et les réservistes, en attente d'un emploi. Les réservistes sont donc des salariés comme les autres; ils perçoivent un salaire(moindre évidemment que celui des titulaires). Le salaire du réserviste doit lui permettre de vivre convenablement, lui et sa famille. Ça sera donc un "salaire minimum interprofessionnel garanti" (smig). Le chômage et les chômeurs disparaissent (y compris du dictionnaire !). Il n'y a plus que des salariés. Qui va payer les "réservistes" ? Lorsqu'on additionne les allocations chômage avec toutes les aides versées par les départements ou les municipalités, les loyers impayés, le déficit des cotisations de la sécu et des caisses de retraites, les factures EDF-GDF supportées souvent par les municipalités (ce qui entraîne une augmentation des impôts régionaux, locaux et autres, la part du "social" pesant de plus en plus lourd dans le budget etc.) on comprend immédiatement que l'abolition du chômage va remplir les caisses, celles-ci retrouvant des millions de cotisants, perdus au fil des ans...
Il faut, naturellement, informatiser le système; chaque réserviste disposera d'une carte bancaire, sur laquelle sera viré son salaire mensuel, et prélevés immédiatement le loyer (ce qui réglera le problème de la construction des logements, les HLM étant assurés de percevoir tous leurs loyers), le gaz, l'électricité, l'eau, les assurances etc, c'est-à-dire tout ce qui constitue l'essentiel des dépenses sociales communes, étant entendu que le salaire restant devra permettre au "réserviste" de vivre décemment avec ses enfants (s'il en a). Entre le salaire du réserviste et le plus petit salaire du titulaire, la marge devra être suffisamment conséquente pour inciter le réserviste à chercher un emploi (ce qui suppose une augmentation des plus bas salaires). En échange de ce salaire, il sera demandé (ou imposé?) aux réservistes d'acheter des produits fabriqués en France, ou dans le Marché Commun francophone, ce qui relancera les PME et l'artisanat dans tous les pays du MCF. Ce qui devrait freiner l'émigration dans ces pays, et même inciter de nombreux jeunes à rentrer au pays, ou à accepter les déplacements, tout le système fonctionnant avec les nouvelles techniques de communication qui permettent de voir où l'on va, en quoi consiste le travail proposé, de négocier son salaire etc.suivra
Il faut, naturellement, informatiser le système; chaque réserviste disposera d'une carte bancaire, sur laquelle sera viré son salaire mensuel, et prélevés immédiatement le loyer (ce qui réglera le problème de la construction des logements, les HLM étant assurés de percevoir tous leurs loyers), le gaz, l'électricité, l'eau, les assurances etc, c'est-à-dire tout ce qui constitue l'essentiel des dépenses sociales communes, étant entendu que le salaire restant devra permettre au "réserviste" de vivre décemment avec ses enfants (s'il en a). Entre le salaire du réserviste et le plus petit salaire du titulaire, la marge devra être suffisamment conséquente pour inciter le réserviste à chercher un emploi (ce qui suppose une augmentation des plus bas salaires). En échange de ce salaire, il sera demandé (ou imposé?) aux réservistes d'acheter des produits fabriqués en France, ou dans le Marché Commun francophone, ce qui relancera les PME et l'artisanat dans tous les pays du MCF. Ce qui devrait freiner l'émigration dans ces pays, et même inciter de nombreux jeunes à rentrer au pays, ou à accepter les déplacements, tout le système fonctionnant avec les nouvelles techniques de communication qui permettent de voir où l'on va, en quoi consiste le travail proposé, de négocier son salaire etc.suivra
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