mardi, septembre 30, 2008

CONFIRMÉ : SARKOZY AVAIT TOUT FAUX !

La crise financière fait le tour du monde, Sarkozy "convoque" les banquiers à l'Élysée pour nous faire croire qu'il "contrôle" la situation. Le naufrage de Sarkozy a quelque chose de sidérant. L'an dernier, à peine élu, il annonce qu'il veut faire de tous les Français des propriétaires de leur logement ! Il va même jusqu'à préciser qu'ils pourront ainsi accroître leur "pouvoir d'achat" en empruntant grâce à leur titre de propriété ! Pourtant, la hausse faramineuse de l'immobilier annonçait un retournement, n'importe qui le disait :" Ça ne peut pas continuer, les gens aux revenus modestes, et notamment les jeunes ne peuvent plus acheter. Certains crédits sont accordés sur 30, voire 40 ans !". Sarkozy et sa bande d'idiots s'extasiaient :" les Français s'enrichissent en dormant!". Et pour couronner le tout, Sarkozy a inventé le slogan le plus stupide du siècle :" travailler plus pour gagner plus". Et en avant les "heures supplémentaires !". Si bien que les boîtes d'intérim qui offrent à des salariés privés d'emploi des boulots temporaires, ont vu naturellement l'intérim se réduire, les employeurs étant encouragés à faire "travailler plus" les salariés en place. Et l'on apprend que le chômage est reparti de plus belle ! Enfin, le cadeau fiscal fait aux "plus riches" avait pour objectif... de relancer l'économie ! D'attirer en France les investisseurs étrangers. Résultat : zéro ! George Brown en Angleterre, confronté à des résultats médiocres, est de plus en plus contesté par son propre parti. Si nous avions en France un parti socialiste un peu plus combatif, le peuple serait déjà dans la rue. Et voici que, selon un sondage, Dominique Strauss-Kahn, qui préside le FMI !, serait le meilleur candidat "socialiste" pour la présidentielle. C'est une plaisanterie ?

vendredi, septembre 26, 2008

LA CRISE COMMANDE D'EN FINIR AVEC SARKOZY

A Toulon, Sarkozy a étalé son impuissance. Nous savons bien que la crise n'est pas terminée, et qu'elle va s'aggraver pour nous. Emploi, pouvoir d'achat, retraite, logement, tout est compromis. Notre niveau de vie risque de diminuer sérieusement. Avons-nous seulement une chance de refaire surface ? Pas avec ce que "préconise" Sarkozy puisqu'il nous propose de "continuer" ! Alors qu'il faudrait rompre, ah la rupture !, avec la politique qu'il a inaugurée l'an dernier. Sarkozy n'était pas du tout préparé à exercer le pouvoir. Son inintelligence (ou son absence de jugeote) nous a stupéfiés lorsqu'on l'a vu se précipiter dans les bras de Bush jr, et afficher ses conviction sionistes alors que, précisément, à travers le monde, la politique américaine était rejetée (au point que Tony Blair, en Angleterre, en a fait les frais) et qu'Israël, de plus en plus dans une impasse, s'apprêtait à vomir Olmert, au-dessous de zéro dans les sondages ! Aucun homme politique, digne de ce nom, n'aurait commis cette erreur. A l'intérieur, sur le plan économique, il suffisait, disait-il, d'appliquer la politique la plus libérale possible, réduire l'interventionnisme de l'État à rien, "libérer" les entreprises, "travailler plus pour gagner plus !" etc. Résultat : nul ! Sarkozy est à la fois un incompétent, et disons-le, un crétin. Il finira comme ses maîtres, Bush et Olmert, à la poubelle !
Si nous voulons redémarrer pour maintenir notre place dans le nouveau monde, il faut effectivement rompre. Les socialistes aussi sont prévenus. S'ils pensent revenir au pouvoir, en se contentant de faire de l'opposition, ils se trompent. Ils y reviendront certes (en 2012 un chien se ferait élire contre Sarkozy) mais pas pour longtemps. Une vraie rupture s'impose, et elle commence au Nord, à Bruxelles, en Wallonie, là où se trouve "le maillon faible" de la Bureaucratie eurocratique. Ça n'est pas un effet du hasard si c'est dans nos deux pays - la France et la Belgique - que se conjugue le besoin de se forger un nouveau destin.

jeudi, septembre 25, 2008

LETTRE OUVERTE A FRANÇOIS BAYROU, JEAN-PIERRE CHEVÈNEMENT,NICOLAS DUPONT-AIGNAN,SÉGOLÈNE ROYAL,DOMINIQUE DE VILLEPIN...

Chers amis,
Dans son blog repris par l'Express, Jacques Attali interpelle toute la classe dirigeante française : en cas de divorce entre Wallons et Flamands en Belgique, la France va devoir offrir une perspective aux Wallons. Je rappelle que de Gaulle lui-même, dans un entretien accordé à Robert Liénard, professeur à l'Université de Louvain, déclarait en 1965 (!) :" Bien entendu, si un jour une autorité publique représentative de la Wallonie s'adressait officiellement à la France, ce jour-là de grand coeur nous répondrions favorablement à une demande qui aurait toutes les apparences de la légitimité". Compte tenu de l'impasse dans laquelle se trouve aujourd'hui la Belgique, le moment nous semble venu de faire des propositions à nos voisins et amis. Nul ne peut contester aux Flamands le droit de vouloir être eux-mêmes. Le "droit des peuples à disposer d'eux-mêmes" est un droit inaliénable.
Depuis de nombreuses années, nous avons, nous, un problème relationnel avec la Corse, et d'une manière générale avec les Départements et Territoires d'Outre-Mer. Il s'agit, pour nous tous, d'entrer dans le 21e siècle, premier siècle planétaire de l'histoire. Le moment n'est-il pas venu de rassembler les francophones dans une Association d'États fédérés ou confédérés, que j'appelle Nouveaux Etats-Unis Francophones (NEUF), afin de créer une citoyenneté francophone commune qui ferait de nous des "citoyens du monde" ? Avec les Wallons, les représentants de la Corse et des DOM-TOM, nous sommes en mesure aujourd'hui de bâtir cet Assemblage à dimension mondiale adapté à notre temps - qui est celui de la Reconstruction.
Vous êtes suffisamment libres, me semble-t-il, et soucieux de l'avenir de notre pays pour que je m'adresse à vous, convaincu que les Wallons sont au rendez-vous de l'Histoire, et qu'ils nous commandent de les y rejoindre. Les prochaines élections, régionales et européennes, dans nos deux pays, doivent permettre d'engager le processus de rassemblement qui aboutira à la tenue d'un referendum dans tous les territoires concernés. Contrairement aux apparences, l'avenir nous appartient... si nous savons concrétiser cette opportunité.
Dans l'espoir d'être entendu, je vous prie d'agréer, chers compatriotes, l'assurance de ma respectueuse sympathie.
Paris, le 25 septembre 2008

mercredi, septembre 24, 2008

LA WALLONIE... AVANT L'AFGHANISTAN !

L'Assemblée Nationale, à Paris, a consacré une séance (pour rien, le résultat du vote étant connu d'avance) à l'Afghanistan. Il paraît, d'après M'sieur Sarkozy, que la France, là-bas, fait la guerre au terrorisme avec ses alliés de l'OTAN ! On ne savait pas que l'OTAN, qui fut fondée en 1949, avait pour objectif de combattre le terrorisme partout sur la planète ! Nos députés ont l'air de trouver ça normal. On se doute bien que cette guerre finira comme les précédentes, en Indochine, en Algérie, à Madagascar, comme toutes les guerres coloniales : par le retrait, pur et simple, de l'envahisseur. Et d'autre part, l'URSS, cet Empire du Mal qui terrorisait le Monde Libre a disparu sans qu'un seul coup de feu ait été tiré ! Il est tombé tout seul comme un fruit mur. Cela devrait nous faire réfléchir, et nous rassurer ! Malheureusement les USA, puissance hégémonique, se sont mis en tête de régenter le monde. C'est la loi du genre : tout pays qui parvient à dominer les autres, est poussé par une ambition démesurée. Hier, le "communisme", aujourd'hui le terrorisme alimente la "croisade" contre le Mal. Mais cette fois il ne s'agit plus d'un bloc (contre bloc) : il s'agit de la terre entière, et jusqu'à présent, aucune super-puissance n'est parvenue à la maîtriser. Le bon sens nous conseille donc de rester en dehors d'une "croisade" vouée à l'échec.
En revanche, reconstruire notre pays, avec une Belgique voisine qui se défait, exige de nous tous un effort de réflexion. Un débat à l'Assemblée Nationale serait le bienvenu, il passionnerait à la fois les Français et les Belges, de toutes obédiences, et ne laisserait indifférent aucun Européen. Ainsi les Wallons se retrouvent-ils au coeur d'une problématique qui concerne toute l'Europe ! A nous donc, des deux côtés de la "frontière", d'agir ensemble en lançant le débat à la base, parmi les citoyens, afin de placer les "responsables politiques" devant leurs responsabilités, et surtout, de leur présenter une "solution" somme toute facile à réaliser. L'avenir est entre nos mains, et c'est le moment de crier :" La Wallonie... avant l'Afghanistan !".

mardi, septembre 23, 2008

DE GAULLE : C'EST L'HEURE DE LA WALLONIE !

Au cours d'un entretien avec Robert Liénard, professeur à l'Université de Louvain, de Gaulle aurait déclaré (ces propos figurent dans le livre de Claude de Groulart "De Gaulle : vous avez dit Belgique ?", paru en 1984 aux éditions Pierre-Marcel Fabre, p.41) :"Bien entendu, si un jour une autorité publique représentative de la Wallonie s'adressait officiellement à la France, ce jour-là de grand coeur nous répondrions favorablement à une demande qui aurait toutes les apparences de la légitimité". Avec Alain Peyrefitte également, il a plusieurs fois évoqué le problème wallon (in "C'était de Gaulle" - éditions Fayard) en soulignant que le "rattachement" s'imposerait probablement, dès lors que le "divorce" deviendrait inévitable. Il faut se souvenir que de Gaulle avait un ancêtre irlandais, ce fameux Mac Cartan ( que j'ai entraperçu lors de mon séjour en Irlande, en 1950 !), un sacré baroudeur qui rêvait de bouter l'Anglais hors de l'ïle, et que cet aïeul celtique devait de temps en temps agiter de Gaulle lorsqu'il s'opposait à cette Angleterre qui nous avait imposé une Belgique artificielle, après Waterloo. Ce qui est sûr, c'est que l'histoire ne s'arrête pas, et qu'elle est même loin d'être "finie", comme disait l'autre.
Il s'agit donc de mettre notre pendule à l'heure ! Pourquoi ne pas commencer, en liaison avec les Wallons et les Francophones de Bruxelles, par présenter des listes prônant le rattachement, ou mieux encore ces Nouveaux Etats-Unis Francophones que je préconise de créer, aux prochaines élections régionales et européennes, et ce, bien entendu, pour imposer in fine le referendum qui permettra à nos amis Wallons de choisir démocratiquement ? Des listes qui seraient parrainées par des personnalités influentes et favorables naturellement à ce rattachement historique ? En ciblant les territoires prioritairement concernés : les DOM-TOM et la Corse, futurs Etats fondateurs des NEUF ? Cette initiative ferait prendre conscience aux Wallons qu'ils ne sont pas seuls, et que l'heure a sonné pour eux comme pour nous !


dimanche, septembre 21, 2008

BAYROU, VILLEPIN, ROYAL... AVEC LA WALLONIE ?

Pour les prochaines "européennes", de juin 2009, je suggère à nos amis Wallons-Bruxellois (sur le site "forum Bruxelles-Francophone") de profiter de l'occasion pour présenter un "front commun" francophone en faveur du rattachement à la France. L'idéal serait évidemment de répercuter en France, dans les DOM-TOM et en Corse la revendication des Wallons. Mon ambitieux projet de "Nouveaux États-Unis Francophones" le permet ! N'est-il pas possible de constituer en Corse et dans les DOM-TOM des listes favorables à la création des NEUF ? Encore faut-il trouver une personnalité connue susceptible de mener et d'incarner ce combat pour une "reconstruction" à vocation mondiale. Un "présidentiable" si possible ! François Bayrou, Ségolène Royal, Dominique de Villepin sont disponibles. Et bien d'autres, parmi ceux, ou celles, qui vont se heurter, ou se heurtent déjà aux "appareils". Voici l'occasion de dépasser, et d'enterrer le vieux clivage "gauche-droite", et d'inventer une "voie" originale, adaptée au nouveau siècle. Reconstruire, à partir de la "crise" belge, et de la crise "européenne", avatars, chez nous, de la crise mondiale, nous oblige à sortir des sentiers archi-battus. Cette "crise" belge est décidément une aubaine !

samedi, septembre 20, 2008

LE DÉBAT SUR L'AVENIR DE LA BELGIQUE PREND DE L'AMPLEUR

La crise belge connaît un nouveau développement. Flamands et Wallons sont au pied du mur. Les "modérateurs", désignés par M. Leterme ont remis leur rapport au Roi, mais déjà les Flamands l'on rejeté. Je participe, avec beaucoup d'autres, au débat sur le site Forum Bruxelles-Francophone et je suggère aux Wallons comme aux Bruxellois de présenter aux prochaines élections européennes de 2009 un front commun qui proposera le rattachement à la France. Ainsi, ce sont les électeurs qui trancheront. Les politiciens français de "droite" comme de "gauche" seront alors contraints de répondre aux Wallons si ceux-ci se déclarent en faveur du rattachement, ou d'une association : sous quelle forme ? Je propose, on le sait, la création des Nouveaux Etats-Unis Francophones. Le moment est venu d'en débattre, en France, dans les DOM-TOM, en Corse, en Wallonie et à Bruxelles ! Propulsons cet ambitieux projet dans le monde francophone à l'occasion des prochaines élections "européennes" ! Ce sont les Francophones qui, en s'affirmant partout, vont redonner un avenir à la France !

mardi, septembre 16, 2008

GEORGES PÉBEREAU PRÉDIT LA RÉVOLUTION !

Il faut lire dans Le Monde de ce jour l'article extraordinaire de Georges Pébereau, l'ancien PDG d'Alcatel, intitulé "A quand l'étincelle de la révolution ?" publié dans un dossier spécial consacré à la crise financière. Prenez-en de la graine, messieurs les "socialistes" ! Voici un patron, et non des moindres, qui assassine Sarkozy, et annonce tout de go :" Nous sommes, à n'en pas douter, dans une période pré-révolutionnaire, au sens de 1789." Et ce qui est encore plus accablant pour le PS, qui est un parti de cadres :" Les cadres, et d'une façon plus générale, les classes moyennes, seront demain, comme les bourgeois naguère, les catalyseurs de la révolution... Il y aura de plus en plus de revendications et de moins en moins de moyens capitalistes pour les satisfaire et de moyens policiers pour les endiguer. Une étincelle suffira pour déclencher des mouvements irréparables."
On est éberlué : la révolution couve, une étincelle suffira... Qui dit cela ? Besancenot ? Delanoë ? Non, un "grand patron" ! Le parti socialiste, lui, qui prétend représenter les cadres et les classes moyennes, apparemment n'est pas au courant. Ainsi, la preuve est faite que ce parti est coupé du peuple, et qu'il n'est plus qu'une machine électorale pour carriéristes.
Le constat de Georges Pébereau est également accablant pour les "européens". Cinquante ans après la signature du Traité de Rome, cet ancien patron d'Alcatel avoue :" C'est avec quelque nostalgie que j'ai assisté au naufrage d'Alcatel et que j'assiste à la déchéance politique et économique de notre pays". Ne serait-il pas temps que tous ces promoteurs de l'Europe passent comme lui aux aveux ? Qu'ils reconnaissent enfin qu'ils se sont trompés ? Que le monde a plus changé en trente ans qu'en deux siècles ? Que leur "grand projet" des années 50 ne tient plus la route ? Que la disparition de l'URSS a libéré l'Asie et que celle-ci a fait basculer l'axe du développement économique (et politique) vers le Pacifique ? Et que, dans notre intérêt à tous, il vaut mieux regarder vers le grand large, au-delà des Océans et de la Méditerranée, que de rester, les deux pieds dans le même sabot, englués sur cette nouvelle ligne Maginot qui s'appelle l'Europe : un linceul pour la France ? s'interrogeait Michel Debré quelque temps avant sa mort. "Une déchéance", en tout cas pour Georges Pébereau. Ce mot-là, qui tombe comme une sanction, condamne ces soi-disant "bâtisseurs" !

samedi, septembre 13, 2008

POUR EN FINIR AVEC LE PAPE ET LES SARKOPHAGES !

Il faut prendre le Pape et Sarkozy au mot : enseignons dans les écoles l'histoire des religions ! Aujourd'hui, avec le formidable essor des sciences et des techniques, notamment de la génétique, nous sommes en mesure de comprendre la genèse des "religions", et particulièrement du monothéisme. Avec le livre de Shlomo Sand ("comment fut inventé le peuple juif"), celui d'Arthur Koestler (la "13e tribu"), de Kevin Allan Brook ("Histoire des Khazars : la nation juive de Russie et d'Ukraine"), du Père Théry ("L'islam, une entreprise juive") et quelques autres, étouffés ou censurés, nous comprenons mieux ce qui s'est passé entre, disons, la Vallée du Nil (Alexandrie) et Ougarit, cette ville phénicienne récemment découverte au nord du Liban, en Syrie. Tout le long de la côte méditerranéenne, entre l'Égypte d'une part, et le couloir conduisant vers la Mésopotamie, d'autre part, des peuples et des populations se sont rencontrés, combattus, mélangés dans le "passage", cette étroite bande de terre comprise entre le Jourdain et la Mer, réunissant (opposant) les Pharaons du Nil à ceux de l'extérieur, en Syrie-Mésopotamie. Tout devient limpide ! Le Pharaon Akhénaton défiant ceux de Thèbes, avec son "disque solaire" unique, expulsé d'Égypte, comme l'avaient été avant lui ces "étranges" Hyksos. Le "monothéisme" était un impérialisme, et il s'est parfaitement adapté, si l'on ose dire, à l'impérialisme romain ! Cette histoire est passionnante, puisque nous en sommes issus, nous de ce côté-ci de la Mer. Une étude génétique (publiée dans Géo) a prouvé que toutes ces populations de la rive sud avaient des origines communes ! Et nous sommes en train de réaliser comment l'Église "romaine", après l'effondrement de l'Empire, a reconstruit son "monde à elle", en diabolisant les "juifs" nécessaires à sa domination sur les esprits (paysans) féodalisés sous sa tutelle. Il a raison Benoît lorsqu'il cause avec Sarko ! "Étre antisémite, c'est être antichrétien" ! En effet, ils sont inséparables ! C'est l'avers et le revers de la même pièce ! Et Sarko a tout compris : le CAC 40 a besoin d'un bouclier (pas seulement fiscal !) ! En assemblant les "trois grandes religions monothéistes" (sic), au moment où les masses, confrontées à la mondialisation et délivrées des idéologies mystificatrices, sont à la recherche d'un avenir plus convivial que celui qu'on leur promet à la Bourse des Valeurs, il est grand temps de "diaboliser" les mécréants ! Alors, chiche, on enseigne les "religions" à l'école ?

vendredi, septembre 12, 2008

LA FORMIDABLE VICTOIRE DE SINÉ HEBDO !

Le premier numéro de Siné Hebdo a disparu des kiosques en quelques heures ! C'est bien la première fois qu'un tel succès est enregistré par un journal lancé sur le nom... d'un humoriste-dessinateur ! Sans publicité (commerciale), simplement parce que l'éviction de Siné de Charlie Hebdo par le dénommé Val à propos de trois lignes consacrées au mariage du dénommé Sarkozy (je parle de l'héritier des Hauts-de-Seine) avec la fille Darty a choqué l'opinion, tout au moins ceux qui suivent l'actualité, et qui savent l'interpréter ! En fait, c'est Claude Askolovitch, recruté par le Journal du dimanche, qui a commis cette bourde, car c'en est une ! En décrétant Siné "antisémite", dans une émission d'Europe 1 (une radio qui appartient au même groupe que le JDD), il a créé le "scandale", et Val, sans doute soucieux de conserver sa place dans le lobby "médiatique", en a rajouté... par un licenciement ! Ainsi, les deux zozos ont apporté la preuve qu'il s'agissait, pour l'un comme pour l'autre, d'assurer leur promotion personnelle en se conformant à l'idéologie dominante, dont Sarkozy (le locataire de l'Élysée) est devenu le Grand Prêtre, et il nous le confirme en recevant à l'Élysée, oui je dis bien à l'Élysée, le Pontife du Vatican enrobé, si je puis dire, des dignitaires concurrents mais réunis désormais par le culte unique imposé par le lobby médiatique. Le retour de la Religion se fait naturellement spectaculaire... dans la Société du Spectacle ! "Ils" répondent tous présents et tiennent à se faire voir !
Nos deux compères, je l'ai dit, ont cependant commis une "grosse" bourde, et il n'est pas sûr qu'ils en soient remerciés (par nous, si !). Par leur zèle intempestif, ils ont ouvert une brèche où s'est engouffré Siné hebdo. Quelle que soit notre opinion sur le numéro 1, il faut que ce journal vole de succès en succès, d'autant qu'il est perfectible, et en s'améliorant, semaine après semaine, il finira par acquérir une identité grinçante, de celle qui, tel le fameux grain de sable, enraye la "machine". Oui, vraiment, avec notre cher "canard" et ce jeune "siné hebdo", le lobby sarkozyste a du mouron à se faire.
Ps- le silence des médias respectueux accueillant Siné Hebdo est assourdissant !


jeudi, septembre 11, 2008

JACQUES ATTALI, LA WALLONIE ET LES NOUVEAUX ÉTATS-UNIS FRANCOPHONES

Dans l'Express, Jacques Attali lance le débat sur la Wallonie et souligne que la France va devoir proposer une alternative aux Wallons si les Flamands se prononcent pour le divorce. Je me sens moins seul ! Mon projet de "Nouveaux États-Unis Francophones" (les NEUF) tombe à pic ! Cela fait plusieurs années que je le soumets aux Corses et aux DOM-TOM, sans oublier les francophones du Canada où, comme l'on sait, les Québécois se préoccupent également de leur avenir. La Corse d'abord, au sud, revendique un nouveau statut, et le "problème" est loin d'être réglé. Nous devons en profiter pour refonder une France ouverte sur le monde. Par chance, l'Histoire nous fait un clin d'oeil : regardez vers le Nord, vers la Flandre et la Wallonie ! Les Flamands veulent être eux-mêmes. Il faut leur dire OUI. De quel droit pourrait-on leur dire NON ? Nicolas Sarkozy se mêle de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud, mais sur nos frontières monsieur ne voit rien, monsieur n'entend rien. Regardez Martine Aubry, la Maire de Lille ! "Silence et bouche cousue". Rien ! Tous nos politiciens de gauche comme de droite se taisent... Et pourtant ! Pour la première fois depuis longtemps, nous avons la possibilité d'agir, de reprendre notre destin en mains. Je propose de fonder un ensemble francophone international avec des États, je dis bien des États : érigeons en États les DOM-TOM et la Corse. La Wallonie peut choisir entre le rattachement ou la création d'un État qui deviendra comme les autres un membre à part entière des NEUF. Reste le problème de Bruxelles : s'il n'est pas possible de l'associer à l'État wallon, alors transformons également Bruxelles en une entité séparée (une Cité-État) : soit en principauté (comme Monaco), soit en Duché (comme le Luxembourg), soit en République (comme San Marin). Plus il y aura d'États francophones à l'ONU, mieux cela vaudra. En attendant l'adhésion des autres États francophones aux NEUF, toujours au moyen d'un referendum démocratique, nous ébaucherons au sein de l'ensemble de type confédéral une citoyenneté mondiale francophone avec l'objectif de rassembler tous les francophones de la planète ! Et faisons de Strasbourg, avec les Allemands, une véritable capitale européenne, Bruxelles renforçant sa position de capitale au Nord de l'Europe ! Il importe de lancer ce débat afin qu'il devienne un enjeu et une perspective pour la prochaine élection présidentielle française. Voilà pourquoi le colloque que nous envisageons de tenir en Bretagne ne devrait laisser personne indifférent...

lundi, septembre 08, 2008

QUAND ET COMMENT FUT INVENTÉ LE LOBBY MÉDIATIQUE (3der)

C'est donc au coeur des États-Unis que s'élabore le lobby dominant, dans la dispute de l'État "juif" opposant l'URSS et les USA. L'enjeu est de taille puisqu'il s'agit du Proche-Orient et de son pétrole indispensable à la bonne marche de l'économie américaine. On le sait, ce sont les États-Unis qui l'emportent, et avec eux les Juifs installés aux USA et en Israël. Mais aux États-Unis la classe dominante est d'obédience protestante; les Juifs vont devoir batailler ferme pour y prendre leur place. Après l'exécution des Rosenberg et la mort de Staline, en 1953, où les Juifs sont menacés d'un "nouvel exode", la décision est prise de liquider définitivement la "branche" communiste, marxiste et autres balivernes de type soviétique et de se confectionner un bouclier avec l'aide des témoignages recueillis en Europe (la "shoa") afin de se rendre inexpugnables d'Amérique. Par la force des choses, l'URSS elle-même est condamnée à terme. J'ai montré comment la guerre du Viet-Nam a permis à la communauté juive d'en finir avec ceux qui s'obstinaient à continuer une guerre anti-soviétique qui interdisait de porter secours aux "refuzniks" qu'Israël rêvait d'accueillir sur ses terres. La guerre des Six Jours a galvanisé les Juifs de part et d'autre du "rideau de fer". Elle permit de faire coup double : renverser de Gaulle à Paris l'année suivante, et enterrer l'idéologie pro-soviétique parmi les Juifs français dont beaucoup demeuraient sentimentalement attachés à l'URSS, et à son armée "rouge" qui avait, selon Mme Veil, "libéré les Juifs" d'Auschwitz. 1967 est donc bien l'année-tournant dans l'histoire de l'après-guerre et dans l'histoire du "monde juif". Parti de la Côte Ouest (Californie) le mouvement a submergé tout l'Occident et c'est avec lui qu'a triomphé la "Société du Spectacle" mise en images (américaines) par la Télévision (et le cinéma). Dans cette société-là les Juifs tout naturellement ont excellé, préparés par un siècle de progrès et d'avancées remarquables dans le domaine de la communication. Mais aux États-Unis, ils avaient affaire à une classe hyper-religieuse, issue de l'immigration première (les Pères fondateurs) qui ont vraiment pris les États-Unis pour une nouvelle "Terre Promise". On voit comment encore aujourd'hui Mac Cain fait appel aux "fondamentaux" ultra-conservateurs pour contrer Obama ! Pour démolir cette suprématie omnipotente, un religieux bien de chez nous, et très futé, m'a expliqué, dès Mai 68, qu'ils en viendraient à bout "par le cul", c'est-à-dire par la "révolution sexuelle". Il faut bien reconnaître que cette révolution-là est bien partie de la Côte Ouest, et qu'elle ne pouvait, après avoir assuré le "droit à l'avortement", que déboucher sur la revendication de la "liberté sexuelle"(que l'on voyait déjà s'étaler dans le Quartier Latin) c'est-à-dire en l'occurrence le droit à l'homosexualité. Les Églises américaines ont été frappées de plein fouet, et d'une manière paradoxale, pour dissimuler leur antisémitisme viscéral, elles ont décidé de militer activement, et inconditionnellement, en faveur du Grand Israël, sous-entendu : il faudra un Grand Israël... pour les y expédier tous un jour ! Quel meilleur alibi que d'appeler au soutien inconditionnel de l'État "juif", en faisant référence à la Bible et autres "preuves" de l'existence d'un "peuple juif" en Palestine, il y a trois mille ans ! Là encore, nous découvrons que les Églises protestantes, pour maintenir leur domination, ont besoin d'inventer un "peuple" juif, comme dirait Shlomo Sand... Voilà pourquoi le lobby dominant(médiatique) est constitué désormais de deux éléments essentiels : un "juif", et un homosexuel (gay, cela fait plus cool !) auxquels s'agglutinent des sous-groupes (ex-communiste, ex-trotskiste, ex-mao etc., et quelques franc-maçons un peu dépassés, et qui agissent à découvert). La toute-puissance de ce lobby est telle qu'on n'hésite plus maintenant à se "déclarer", tel Xavier Bertrand "je suis franc-maçon" ou Bertrand Delanoë "je suis homo". Et bien entendu tous de proclamer leur soumission à Israël, et de crier "au fascisme !" lorsqu'un écolier dessine une croix gammée sur le dos de son petit camarade. La "Société du Spectacle", c'est aussi le règne de la "police de la pensée", bouclée par le fichage des citoyens, de tous les citoyens - dès l'âge de 13 ans !
Ce qui est tout de même extraordinaire, c'est que ce sont des Juifs qui ne sont pas juifs (!) qui sont parvenus à fédérer autour d'eux la nomenklura médiatique ! Pour quelle raison ? Sans doute parce qu'ils étaient les seuls en mesure de transférer le pouvoir au monde des médias qui ne sont pas, eux, du tout démocratiques, leurs chefs n'étant pas élus, et n'ayant pas de comptes à rendre aux citoyens (à l'instar des technocrates de Bruxelles) et qu'il fallait bien assurer leur protection tout comme leur pérennité : le "culte de la shoa", célébré jour et nuit sur les écrans, petits et grands, que nul n'a plus le droit de réfuter, depuis le vote de la "loi Gayssot", se prête à merveille à la confection de ce bouclier qui fait de nos chers télécrates des intouchables !

QUAND ET COMMENT FUT INVENTÉ LE LOBBY MÉDIATIQUE (2)

Sous l'effet du capitalisme triomphant, marqué à la fois, dans la "vieille" Europe, par le formidable antagonisme anglo-franco-allemand, et en Amérique par l'affirmation de la nouvelle puissance (capitaliste) , sans oublier en Asie, l'essor parallèle du Japon qui masque quelque peu la "révolution chinoise" en cours (et qui va l'emporter avec Sun Yat-Sen) la franc-maçonnerie d'obédience britannique s'active partout dans le monde : en Europe continentale, Russie comprise, en Afrique, aux États-Unis, au Proche-Orient, en Asie... Presque tous les dirigeants "révolutionnaires et républicains" en sont l'émanation. De 1905 à 1918, elle est "derrière" toutes les Révolutions ! Jusque là, les Juifs en font partie. Mais, à partir de 1918, une autre influence émerge, dans le développement du marxisme et de la "révolution" d'octobre en Russie : les Juifs disputent la 1ère place aux francs-maçons, c'est ce qui explique pourquoi Lénine et Trotsky, dans leurs 21 conditions pour l'adhésion à l'Internationale de Moscou (la IIIe) en excluent les francs-maçons ! Ils savent que l'Angleterre est "derrière", et ils sont alors anti-capitalistes ! Une nouvelle période s'ouvre pour la France : elle passe à la fois sous l'infuence judéo-marxiste (qui va accoucher du PC) tout en restant sous celle de la franc-maçonnerie (qui elle va accoucher de la SFIO). C'est dans cette période "radicale-socialiste" que notre pays va se perdre dans une errance diplomatique, tantôt pro-allemande, tantôt pro-russe, tantôt pro-britannique, et l'on verra Laval aller à Moscou en 1934 signer le pacte d'amitié franco-russe avec Staline, tout en restant allié de l'Angleterre, pour se faire "couillonner" en 1939, avec toute la classe politique française "assommée" par le pacte Hitler-Staline ! On peut dire que, sous l'influence de la propagande "soviétique" et des Juifs pro-marxistes, une grande partie de l'intelligentsia française (universitaire) est passée dans le camp "communiste". La France a perdu le contrôle de sa diplomatie, et elle est livrée en 1940 à ses ennemis "à l'insu de son plein gré". De Gaulle rétablit la souveraineté nationale, mais en 1945, à Yalta, les deux grandes puissances, URSS et USA, imposent leur domination sur le monde (et sur la France), l'Angleterre s'efforçant de conserver son rôle d'intermédiaire, qui la mettra directement en concurrence avec Israël dont elle va s'efforcer d'empêcher l'établissement au proche-orient, connaissant les liens qui unissent les Juifs aux deux super-Grands ! Rapidement, profitant de la "guerre froide", et de la guerre du Viet-Nam, tous les Juifs passent à l'Ouest, dans le camp américain : le lobby dominant n'a plus sa tête à Londres, mais à New York ! (à suivre).

dimanche, septembre 07, 2008

QUAND ET COMMENT FUT INVENTÉ LE LOBBY MÉDIATIQUE (1)

Ce qu'il y a de passionnant avec le temps, c'est qu'il nous apporte les réponses aux questions que bien souvent on ne songe même pas à se poser ! Il en fut ainsi de Mai 68. Ceux qui ont lu mon analyse sur ce blog savent maintenant à quoi s'en tenir. Il m'a fallu tout de même une bonne trentaine d'années pour comprendre ce à quoi j'avais moi-même participé, en plein Paris, chez Hachette ! Comment pouvions-nous deviner que le jeune "révolutionnaire" Cohn-Bendit allait devenir ce notable euro-médiatique pontifiant et directif ? Le XXe siècle n'a pas fini de nous étonner. Par chance, mon père l'a vu débuter. A 20 ans, en 1900, il est venu à Paris poursuivre ses études, en provenance de l'Empire ottoman, de Saint-Jean d'Acre très exactement, en Galilée. Cela sentait la fin de l'Empire. Or, depuis 1870, depuis Sedan, et l'abdication de Napoléon III, le nouvelle classe politique française (républicaine, forcément républicaine) avait besoin de compenser la lourde défaite subie devant l'Allemagne, cette nouvelle puissance dont l'acte de naissance avait été proclamé dans la Galerie des Glaces à Versailles. La "politichiennerie" française se retrouva donc adossée à l'impérialisme britannique. Déjà, Napoléon III (contrairement à son oncle !) s'était révélé "anglomaniaque" en raison du spectaculaire développement du capitalisme outre-manche. Le chemin de fer révolutionnait les transports et les communications. Louis Hachette, le célèbre fondateur de ce qui deviendrait bientôt la "pieuvre verte" ramena de l'Exposition Universelle à Londres l'idée des "Bibliothèques de gares", où allait s'illustrer la Comtesse de Ségur, un auteur sacrément perspicace, qui pressentit que le capitalisme allait détruire sa chère Normandie si bien administrée par la Religion (in La fortune de Gaspard, un roman qui a valeur de document sur le passage de la France rurale à la France industrielle). La classe dirigeante français, anti-allemande, passe donc sous la coupe de l'Angleterre, et de la franc-maçonnerie dont la tête est à Londres. Mon père, qui est encore sous l'influence de sa religion "natale" (chrétienne maronite), a adhéré à la franc-maçonnerie, à l'instigation du notable parisien qui l'a quasiment adopté, celui-ci lui ayant expliqué "que s'il veut agir, être efficace et utile pour son pays d'origine, il doit se faire franc-maçon, tous les dirigeants du pays en "étant". Il en ressortira vite écoeuré par l'anti-cléricalisme forcené alors en vigueur dans les Loges. Ce qui est tout à fait remarquable c'est que, sur le plan international, cette période est marquée par le "renversement des alliances", la France et l'Angleterre, adversaires depuis des siècles sur tous les continents, signent l'Entente Cordiale (sic) en 1904, et l'année suivante à l'intérieur, en 1905, par la "séparation de l'Église et de l'État". Ainsi voyons-nous que politique extérieure et politique intérieure sont intimement liées. L'Église "romaine" est autant détestée et combattue à Londres qu'à Paris, et leur alliance se fait anti-germanique.
On l'a dit, le capitalisme a "libéré" les Juifs. Mais pas n'importe quel capitalisme ! En Angleterre, le capitalisme est d'abord familial. Il est donc interdit aux Juifs (qui sont d'ailleurs peu nombreux outre-manche). Les Juifs vont s'illustrer dans le commerce international, et dans tout ce qui relève de la "communication", inévitablement internationale ! Les grands chantiers multi-nationaux du 19e siècle , chemins de fer, radio, agences de presse, transports maritimes et aériens, sont de leur ressort, et elles sont accompagnées par l'essor des banques qui deviennent elles aussi internationales (Rothschild, tant à Londres qu'à Paris, et le fameux baron franco-bavarois Maurice de Hirsch qui édifie son immense fortune avec la construction de chemins de fer partout dans le monde). A Paris, c'est Havas qui fonde son agence de presse (la future AFP), et son adjoint, Reuter, s'en va à Londres, fonder la sienne. Viendront ensuite, le cinéma (américain), la télévision etc. Au début du XXe siècle, la France gouvernementale évolue donc dans le sillage de l'Angleterre... (à suivre)

SOUTENONS LES FLAMANDS !

Ce dimanche, pour la énième fois, les flamingands ont "encerclé" Bruxelles. La "belgique", c'est fini, disent-ils. L'histoire est de leur côté. Depuis la disparition de l'URSS, cette entreprise criminelle contre les peuples, ceux-ci renaissent à l'Est et au centre de l'Europe. A l'Ouest, les eurocrates sévissent encore à Bruxelles, leurs jours sont comptés. Jacques Delors et les siens se sont trompés, comme Monsieur Maginot, cet illustre Ministre de la Guerre qui accoucha d'une "ligne" soi-disant "infranchissable" et qui, au contraire, précipita les troupes allemandes en France ! L'Europe de Monsieur Delors nous fait irrésistiblement penser à la "ligne Maginot": une fiction (qui nous coûte cher) et qui nous tue à petits feux. Face à la revendication du peuple flamand, les "eurocrates" à Bruxelles sont dans leurs petits souliers, et nos politiciens de bas étage se détournent, incapables de proposer la moindre solution de rechange. Ils sont comme Bush face à l'Irak : comment faire pour en "sortir" ? Eh bien, messieurs, la Belgique est morte, c'est tout. Après l'Union soviétique, l'union eurocratique : dans les poubelles de l'histoire !
Une alternative, la seule !, se dessine : reconstruire le pays avec les autres francophones des DOM-TOM, de Corse, en commençant par la Wallonie justement à la recherche d'un avenir, comme nous, que nous soyons en Europe, en Amérique ou en Océanie, afin d'entrer tous ensemble dans le premier siècle planétaire de l'histoire ! C'est tout de même plus passionnant que cette Europe merdique, qui liquide tous nos avantages acquis, réduisant notre niveau de vie à un "minimum de survie", car il en sera ainsi, inexorablement, dans une mondialisation axée sur le Pacifique entre les deux géants à la fois complémentaires (aujourd'hui) et adversaires (demain) que je n'ai point besoin de nommer. Le pire nous sera réservé. Il est grand temps de reprendre notre destin en mains. Qui aura l'intelligence de proposer la création des Nouveaux Etats-Unis Francophones ? Bayrou ? Villepin ? Ségolène Royal ? Ou un autre ? La déconfiture sarkozienne appelle une réponse rapide : Flamands et Wallons sont sur le point de divorcer ! Ça n'est plus une "histoire belge", c'est la nôtre, celle de tous les francophones, où qu'ils soient, dispersés sur la planète. Si nous nous montrons à la hauteur, le premier "citoyen du monde" sera francophone !

L'ÉMISSION DE PAUL AMAR : LE LOBBY PREND PEUR

L'émission de Paul Amar ("revu et corrigé") déjà nous fait regretter l'arrêt sur image, de Daniel Schneidermann. Cela tient au fait que Paul Amar est un mauvais "interviewer". Mais ce samedi, il a dépassé les bornes en "invitant" Siné (qu'il a voulu piéger) en le plaçant face à Marek Halter, et surtout en infligeant à l'une de ses collaboratrices un "réquisitoire" qui devait "démontrer" que Siné était un affreux "antisémite", allant jusqu'à rappeler un vieux "procès" pour enfoncer le clou. Siné est resté impassible face au réquisitoire, et s'en est bien sorti. Paul Amar, en revanche, faisait pitié. Marek Halter, lui, était, comme à son habitude d'ex-stalinien, de "communiste polonais", fidèle à son image : un oiseau de proie, annonçant la mort, le Torquemada qui monte son procès de Moscou, bref le Grand Prêtre, assassin (en paroles), bien plus efficace que le meurtrier qui vous enfonce un piolet dans le crâne, "à la Trotsky". Conforme donc à souhait, et qui mérite les félicitations du jury. Mais que dire de Paul Amar, de mauvaise foi, et surtout dispensateur de "morale", affligeant de bêtise. "Cessez donc, Siné, d'être obsédé (sic) par Israël et les Palestiniens ! Parlez donc d'autre chose ! Laissez tranquille le fils Sarkozy et la fille Darty" !
Quel aveu ! Le lobby "médiatique" prend peur. Le sarkozysme va mal "finir". Même le Journal du Dimanche ( Lagardère serait-il sur le point de se recycler ?) titre "le gouvernement piégé "! La crise politique se rapproche à grands pas. Le lobby va devoir tourner à plein régime : une école est recouverte d'inscriptions nazies, trois "jeunes juifs" se font agresser rue Petit, l'hebdo de Siné sera forcément "antisémite", un attentat bientôt contre une synagogue ? Probablement. Il y a du "copernic" ou du "carpentras" dans l'air...

jeudi, septembre 04, 2008

SARKOZY EST BIEN LE PARRAIN DU LOBBY MÉDIATIQUE !

La créature "neuillesque" a tenu à confirmer la justesse de mes analyses ! Qu'on en juge : Clavier, une vedette du show-biz, au demeurant fort sympathique, l'appelle à l'Élysée :" Des indépendantistes corses occupent ma propriété..." Il n'a même pas le temps de terminer :"T'inquiète ! Je m'en occupe" Et il appelle MAM. La suite, on la connaît. Rossi, le "monsieur sécurité" en Corse, saute ! Rappelons-nous : déjà, à Neuilly, il était intervenu dans une école "occupée" par "Human Bomb", un zigoto, probablement génial, une sorte de Jean-Edern Hallier et de Guy Debord réunis, qui avait pressenti que le "maire de Neuilly" était un "agité du bocal" et qu'il fonctionnait avec deux instruments : la police et la télé ! Devenu ministre de l'intérieur, Sarkozy n'a eu de cesse de tripatouiller les divers organismes de police, jusqu'à "réorganiser" les RG et la DST, pour en faire une CIA et un FBI "à la française". Il l'a dit lui-même avec franchise : "désormais la guerre est avant tout une "guerre de renseignements". Et nous voici, pour couronner le tout, avec Edvige, ce système informatisé où nous serons tous fichés, et connectés à tous les "services d'investigation" - de France, d'Israël et des États-Unis ! Cette "Société de la Police" s'imbrique tout naturellement dans la "Société du Spectacle". Sarkozy nomme les directeurs de chaîne, jusqu'aux présentateurs du journal télévisé ! A Europe 1, J.P. Elkabach (qui a tout compris) le consulte avant de choisir les porte-voix qui vont dispenser la bonne parole. A TF1, PPDA est remplacé par une Ferrari docile, et lisse comme une image. Sur les chaînes publiques, Patrick de Carolis est sur la sellette. Mais, comme Val, à Charlie Hebdo, il sait ce qu'il lui reste à faire, pour conserver sa place dans le lobby : épurer.
Depuis le 11 septembre 2001, l'évolution policière de la Société s'est accélérée. Aux États-Unis, et en Israël, les moyens techniques les plus sophistiqués sont utilisés pour "écouter", repérer, filmer, et "liquider" éventuellement. Hier, les States combattaient partout le "communisme" pour affirmer leur hégémonie sur le monde, aujourd'hui ils luttent contre le "terrorisme" partout, y compris en Afghanistan ! Sarkozy, le "Musharraf" du canton parisien, marche dans la combine. Au point que l'on peut se demander s'il n'a pas été, lors de ses stages de "ministre de l'intérieur" aux États-Unis, recruté par la CIA !(A l'insu de Jacques Chirac évidemment !). On est en droit de se poser la question depuis qu'il a décrété que le "renseignement" primait désormais en "matière stratégique". Or, en Occident, le "renseignement", avec ses multiples Agences, a sa tête outre-atlantique, et ses relais de ce côté-ci, en Angleterre et en Israël. L'alignement de la France sur la politique bushienne, sa réintégration dans le QG de l'OTAN, sa participation aux guerres américaines en Asie et au Proche-Orient sont des indices qu'on ne peut négliger. A Moscou déjà, c'est un homme de l'ex-KGB qui est au pouvoir. Pourquoi n'en serait-il pas de même à Paris (version américaine) ? La lutte contre le "terrorisme" permet de ficher (et d'épurer) toute la "Société du Spectacle", et, plus encore : de ficher absolument tout le monde ! George Orwell l'avait prédit dans son fameux livre "1984" ("la paix c'est la guerre" - "Big Brother nous surveille et nous protège"). Mais il s'est trompé : ça n'est pas dans le système communiste que se réalise "le meilleur des mondes", c'est dans le nôtre : le capitalisme ! Orwell ne pouvait pas savoir ce que nous avons appris, nous, avec le temps : le "communisme" de type soviétique n'était qu'une parenthèse qui a permis aux "juifs" de passer de l'Est à l'Ouest, non sans mal, puisque, lors du "passage" plusieurs millions d'entre eux y ont laissé la vie. Ainsi "Israël" est-il devenu une sorte de chiffon rouge qui permet d'entretenir un climat de guerre lequel favorise la "mise en condition" de toute la société ! C'est pourquoi je crois de moins en moins dans une issue pacifique du conflit israélo-arabe, car, celui-ci, "miraculeusement", par son prolongement islamique, atteint les frontières de la Chine que les USA s'efforcent d'encercler de toute évidence. Ainsi, à l'intérieur, ce conflit, à dimension planétaire, accélère la mise en place d'une société "sous surveillance", et à l'extérieur, transforme en "guerre contre le terrorisme" la moindre peccadille, tel que l'arraisonnement d'un voilier en Mer Rouge ! Il y a de quoi être, comme le dit Edgar Morin, "optipessimiste" !
Pour en revenir à Sarkozy et son "clavier" corse, nous sommes en pleine action du "lobby médiatique", et ce lobby, comme je l'ai démontré, ne peut être que pro-israélo(américain), tout comme le PCF était pro-soviétique, au temps de la splendeur de Staline, et au début du XXe siècle, la franc-maçonnerie pro-britannique. Seul de Gaulle a résisté à tous, et il nous a montré la voie : la raison d'être de la France c'est, de toutes ses forces, dire NON à ce qui se prépare.
Une nouvelle Résistance commence... contre le gouvernement de Neuilly, la capitale "corse" du lobby médiatique !

mardi, septembre 02, 2008

LA BATAILLE DE SINÉ-HEBDO EST UNE NOUVELLE BATAILLE DE FRANCE !

La prochaine naissance de Siné Hebdo nous réjouit. De deux choses l'une : ou bien ce nouveau journal, en défiant tous les tabous, se vend sans problème dans l'hexagone, et la preuve sera ainsi faite que nous sommes toujours un pays de liberté, ou bien les procès, intentés par les officines et les personnages "diffamés", encouragés à déposer plainte, en viendront vite à bout, et dans ce cas, la preuve contraire sera faite : la France a cessé d'être un pays de liberté ! Pour cette raison nous devons remercier Val, et je suis sérieux : tout le monde, je dis bien tout le monde, va pouvoir vérifier si notre pays est bien un pays à part, celui où il est possible de s'exprimer sans crainte ! La riposte de Siné dépasse, comme on le voit, son cas personnel : nous sommes tous concernés. En France, il ne reste qu'un tabou, celui qu'a érigé le lobby, appelons-le par son nom, le "lobby juif". C'est le dernier, tous les autres sont tombés. Un lobby qui est devenu, au fil du temps, comme je l'ai souligné précédemment, le "lobby" du show-biz. Dans la Société du Spectacle, il ne pouvait pas en être autrement : la nomenklatura dirigeante a besoin, pour se protéger, d'exclure du petit écran tous ceux qui la contestent. Étant donné la force de l'image, la franc-maçonnerie des médias - une franc-maçonnerie visible - doit impérativement "faire le ménage", et tenir, comme à la prunelle de ses yeux, les leviers de commande ! Ce qui est tout à fait remarquable, c'est que cette franc-maçonnerie d'un type nouveau, a besoin, elle aussi, de s'appuyer sur un État puissant, et impérialiste. Avant-hier, elle était entre les mains de l'Angleterre, dominante au 19e siècle, jusqu'en, disons, 1918. Hier, ce fut au tour de l'URSS, et autour d'elle, avec un PCF totalement soumis et inféodé. Aujourd'hui, incontestablement, c'est l'État israélien qui joue le rôle d'État dominant en France. Toute critique à l'égard de cette entreprise funeste, et qui l'est depuis son origine, à la fin du 19e siècle, déclenche le "signal d'alarme". Toute la coterie des médias réagit avec un formidable instinct de "survie". Ça n'est plus effectivement un lobby exclusivement "juif", c'est un conglomérat de gens qui vivent du pouvoir que génère l'image (qui prime désormais le son, et l'écrit). On se souvient que de Gaulle, constatant l'opposition de la presse écrite à son égard (notamment en province) s'était approprié la "télé", alors réduite à une chaîne ! Mais en 1968, cette "télé" s'est retournée contre lui, parce qu'il ne la contrôlait pas : elle était déjà entre les mains d'une Nomenklatura qui a, rapidement, fait d'Israël, son "centre de ralliement". Et pour cause : c'est en Juin 67 qu'Israël, avec sa victoire sur Nasser, a pris le dessus en Occident comme en URSS ! Depuis cette date historique, la Nomenklatura audio-visuelle, ou la coterie du petit écran, n'a cessé d'étendre son pouvoir sur la Société (du Spectacle). Elle a, en effet, découvert et compris que "l'holocauste" la rendait quasiment invulnérable. Et qu'il suffisait d'en célébrer le culte pour devenir "intouchable" ! Voilà pourquoi le "lobby des médias" est devenu un lobby pro-israélien. C'est ce que Val a réalisé lorsque Claude Askolovitch a dénoncé le billet de Siné pour "antisémitisme", et ce, à propos du fils Sarkozy et de la fille Darty ! S'il voulait poursuivre sa carrière, et renforcer sa position au sein de la coterie, il ne lui restait plus qu'à "liquider" Siné !
La réplique du dessinateur-humoriste revêt donc une importance primordiale : il est obligé de s'en prendre au dernier tabou (s'il ne le faisait pas, à quoi servirait son journal ?) et la coterie va devoir se défendre, par des procès, afin d'interdire le journal en le frappant à la caisse. Mais, à force de procès, elle va se démasquer, et apparaître comme "l'ennemie de la liberté" ! Comme on le voit, la bataille qui s'annonce n'est pas anodine...

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