On me dira "comment allez-vous vous y prendre pour fonder ces nouveaux États-Unis francophones ?" Je réponds :" Nous allons commencer... par le commencement !" Il s'agit d'une oeuvre qui se réalisera par étapes. Elle est d'autant plus réalisable qu'au départ les États fondateurs sont sous la juridiction française : la France bien entendu + les Dom-Tom (Corse comprise) auxquels s'ajoutent les "cousins" également en situation de recherche d'avenir : ceux de Belgique et ceux du Canada. D'autres entités (ou communautés) francophones (étatiques ou non) peuvent naturellement participer à la création de ces nouveaux États-Unis, mais dès lors que les fondateurs sont des Français de métropole et d'outre-mer, le débat (ou le projet) peut faire l'objet d'un référendum, ou mieux encore d'une campagne présidentielle, ce qui veut dire qu'un (ou une) candidate peut proposer cet objectif ambitieux, adapté à ce siècle, aux électeurs et aux électrices en âge de voter en France ! En relation avec les "cousins" qui, dans leur propre pays, revendiquent eux-mêmes un changement de statut. Mais je l'ai dit : tout francophone, où qu'il se trouve, sera concerné, et pourra, d'une manière ou d'une autre, participer au débat !
Pour que ces États-Unis éveillent l'intérêt dans le monde, et soient accueillis favorablement, il leur faut résoudre les deux grands problèmes de notre temps, à savoir, à l'extérieur, le maintien de la paix et à l'intérieur, l'instauration d'un "minimum vital pour tous". Au siècle dernier, l'URSS et le "communisme" ont (brièvement) fait espérer l'avènement d'un monde plus juste, et même idéal pour certains d'entre nous. Cet espoir fut vite déçu. Et le "communisme" relégué au "musée des horreurs"... ou en Chine ! Ou en Corée du Nord ! Ou à Cuba ! Ou en Algérie ! (Car, en Algérie, cela sent, excusez-moi, le système "soviétique" à plein nez !).
Dans le JDD du 26 janvier 2013, Michel Rocard cite deux Prix Nobel d'économie, Joseph Stiglitz et Paul Krugman, qui "hurlent" contre la politique d'austérité infligée aux Européens, et Rocard juge "imbécile" la baisse programmée du pouvoir d'achat en France. Il préconise une diminution du temps de travail, l'urgence étant de faire reculer le chômage ! "Un chômeur en moins, dit-il, c'est une économie d'allocations et des cotisations qui rentrent dans les caisses publiques" ! Quelle découverte ! Il est certain que c'est le chômage massif que nous subissons depuis 1973, et qui n'épargne plus aucune région du pays, qui nous ruine, moralement et financièrement. Le bon sens commande, par conséquent, d'abolir le chômage... pour nous enrichir et remplir les caisses ! Michel Rocard ne dit pas que des bêtises...suivra
Dans le JDD du 26 janvier 2013, Michel Rocard cite deux Prix Nobel d'économie, Joseph Stiglitz et Paul Krugman, qui "hurlent" contre la politique d'austérité infligée aux Européens, et Rocard juge "imbécile" la baisse programmée du pouvoir d'achat en France. Il préconise une diminution du temps de travail, l'urgence étant de faire reculer le chômage ! "Un chômeur en moins, dit-il, c'est une économie d'allocations et des cotisations qui rentrent dans les caisses publiques" ! Quelle découverte ! Il est certain que c'est le chômage massif que nous subissons depuis 1973, et qui n'épargne plus aucune région du pays, qui nous ruine, moralement et financièrement. Le bon sens commande, par conséquent, d'abolir le chômage... pour nous enrichir et remplir les caisses ! Michel Rocard ne dit pas que des bêtises...suivra
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