vendredi, janvier 04, 2013

ENFIN UNE SOLUTION POUR SORTIR DE LA CRISE : UN NOUVEAU MODÈLE... FRANCOPHONE ! RÉPONSE A J.M. AYRAULT(3)


Si nous voulons survivre, prendre notre place dans le Nouveau Monde qui commence à émerger, il va falloir se battre, non pas en déclarant la guerre, mais en "déclarant la paix" quasiment à tout le monde puisque la mondialisation accélérée que nous sommes en train de subir, du fait de la "révolution informatique", ne laisse aucun peuple en marge de cette transition sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Nous sommes bien tous désormais dans le même "village planétaire". A chacun d'entre nous d'y construire son quartier ! Faisons en sorte que "notre quartier à nous" ne soit pas le quartier des pauvres (et des chômeurs), mais un quartier où il fait bon vivre - et qui donnera aux autres quartiers envie de nous imiter, ou, à tout le moins, de nous respecter. Bref, la compétition qui s'ouvre, avec ce nouveau siècle, sera, doit être obligatoirement pacifique (du fait que les armes de destruction massive, si elles venaient à être employées par les belligérants, rendraient difficile, sinon impossible, le maintien de la vie sur  cette planète). 

Dans les années 50, les dirigeants ouest-européens, effrayés par le "péril rouge" (soviétique), sortant d'une guerre "mondiale" qui les avait appauvris, ou détruits (Allemagne : Année zéro, en outre occupée à l'Est) se laissèrent convaincre par les vainqueurs (les Américains) qu'ils devaient s'en remettre à eux pour leur défense (OTAN), et dans le domaine économique créer un Common Market (en français : Marché Commun), et, bien entendu, liquider leurs Empires coloniaux. Des Européens, sincères,  crurent venu, en conséquence, le moment de bâtir une Europe qui prendrait la 3e place entre l'URSS  et les USA.

Pour nous Français,c'était renoncer à notre rang de "grande puissance" pour s'intégrer, et se diluer dans un ensemble "plus vaste", protégé par l'Oncle Sam. Les Américains avaient gagné la guerre (nous, nous l'avions perdue en 1940, et à qui devions-nous notre "libération"?). Tout logiquement, la puissance victorieuse engrangeait les bénéfices de sa victoire "planétaire", le Japon s'inclinant dans la foulée après le bombardement atomique d'Hiroshima et de Nagasaki (qui faillit être celui de Tokio, ne l'oublions pas). suivra


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