mercredi, mai 21, 2008

DELANOË DÉJÀ COURONNÉ ROI DES KHAZARS ?

Après la Commune de Paris, en 1871, la Bourgeoisie revancharde décida de "décapiter" la capitale. Il fallut attendre 1977 pour que les Parisiens soient autorisés à élire un "vrai" maire au suffrage universel. Jacques Chirac brigua la Mairie, et la gagna de haute lutte contre les "centristes" giscardiens. En 1981, pour l'Élysée, le "patron"des centristes Giscard, fut, à son tour, battu par François Mitterrand. Le Maire de Paris ne faisait pas le poids, malgré un RPR dominant, mais par trop "parisien". En 1988, Mitterrand ne fit qu'une bouchée de Chirac, tellement maladroit lors de la 1ère cohabitation ! La défaite lui donna à réfléchir. En 1981, toute la communauté juive de Paris avait sanctionné Giscard, en votant comme un seul homme pour Mitterrand. Elle s'en expliqua haut et fort, dans une tribune du Monde. "C'est la 1ère fois, déclara l'un de ses représentants, que nous donnons une consigne de vote" lors d'une élection présidentielle (elle avait auparavant sanctionné de Gaulle en Mai 68 sur les barricades). Si Jacques Chirac voulait enfin l'emporter (en 1995) il lui fallait reprendre cette communauté à la "gauche". Giscard avait lui-même essayé de se protéger en recrutant dans son gouvernement, à un haut poste, Mme Simone Veil. Mais celle-ci ne put faire oublier Barre, ce haut fonctionnaire "antisémite" qui se "démasqua" au lendemain de l'attentat de la rue Copernic en tenant des "propos insultants" à l'égard de la communauté. A l'affût dans sa Mairie, Chirac donc multiplia les gestes de sympathie, et se montra généreux envers toutes les organisations ou associations qui venaient quémander des subventions. Aucune ne trouva portes closes, même les Loubatvitch, une secte d'origine new-yorkaise qui finançait les colonies dans les territoires occupés en Israël sut se faire "entendre" et "comprendre". Bref, tout cela fut payant en 1995. Nous avons ainsi la preuve que la présidentielle française se joue désormais à Paris.
Bertand Delanoë, lui, n'a aucun effort à faire de ce côté-là. Passer de Sarkozy à Delanoë, pour les dirigeants de la communauté, sera chose aisée. Le maire de Paris est déjà couronné Roi des Khazars. Il est de "gauche" et "socialiste", et "libéral" ! C'est le candidat idéal pour des gens qui sont spontanément de "gauche". Pour Ségolène, en revanche, son élection tiendrait du miracle. Le sait-elle ? Certes, elle est croyante, et peut-être ira-t-elle déposer un cierge à Lourdes ? Néanmoins, pour ma part, elle n'a aucune chance... sauf si elle s'appuie sur le peuple, dans les provinces, et dans la banlieue parisienne où la khazarie de l'Hôtel de Ville n'a pas bonne presse. Mais alors, notre brave Jeanne d'Arc du Poitou risque... d'être brûlée en Place de Grève derrière la Mairie !

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