samedi, octobre 08, 2005

Le génocide juif : un tsunami ?

La vérité finit toujours par s'imposer. L'ampleur des massacres en Europe de l'Est a bien évidemment une (ou plusieurs) causes. Certains dirigeants juifs - plus ou moins communistes ou communisants - ont tenté de les occulter en faisant porter la responsabilité du génocide sur l'Allemagne, et seulement elle. Déjà Raoul Hilberg, en étudiant la réalité de ce génocide - il y a consacré vingt ans de sa vie - nous a appris que le massacre des juifs avait été l'oeuvre de "plusieurs peuples et de plusieurs Etats". Ce qui jetait bas la "théorie" de ce que l'on appelle la "solution finale", celle-ci supposant évidemment un seul coupable : l'Allemagne, ou plus exactement le régime national-socialiste d'Adolf Hitler. Comment imaginer, en effet, en pleine guerre !, une solution finale organisée par plusieurs Etats ? C'est impossible, et irréaliste. D'autant que nous savons qu'après la guerre, des Juifs furent encore assassinés en Pologne et en Ukraine (voir à ce sujet le livre "le massacre des survivants" de Marc Hillel - 1985 Plon) et un nouveau livre ("Les voisins" de Jan T. Gross - Fayard) nous a révélé qu'en 1940, avant l'arrivée des Allemands, de braves Polonais massacrèrent leurs voisins juifs dans le petit village de Jedwabne (en Pologne orientale, sous occupation soviétique). Il en fut de même, on s'en doute, dans bien d'autre villages. Dès lors, s'il s'agit bien d'un tsunami (massacre de grande ampleur) il nous faut essayer de comprendre ce qui a pu le déclencher.
De toute évidence, le séisme qui en fut à l'origine s'appelle "putsch d'octobre 1917". L'Etat totalitaire soviétique qui martyrisa tous les Peuples de l'Est emprisonna des populations qui rêvaient d'en sortir, et pour ces peuples ce sont les Juifs - avec l'Armée Rouge du camarade Trotsky, la Guépéou du camarade Dzerjinski, et l'expert en "questions nationales" du camarade Staline - qui en furent évidemment les promoteurs-idéologues-assassins.
Aujourd'hui, les Russes, avec Poutine, ramènent à Moscou la dépouille du général Denikine, le glorieux chef des armées "blanches" pour lui réserver des funérailles solennelles, télévisées à l'intention du plus grand nombre. Il va falloir que les historiens français notamment (les nuls !) nous expliquent ça !
Il s'agit bien d'une parenthèse que tout le monde veut oublier à l'Est. On comprend le désarroi de nos "intellectuels" marxistes (sic) à l'Ouest ! Comment les Besancenot-Krivine, les Laguiller-Hardy, les Buffet-Hue, les Lambert-Gluckstein peuvent-ils encore nous raconter des histoires ? Comment peuvent-ils eux-mêmes y croire ? Nous sommes là au coeur du plus grand mensonge de l'Histoire. Voilà pourquoi on s'efforce dans les milieux dominants (médiatiques) d'endiguer la montée irrésistible de la vérité : le tsunami (génocide juif) n' a pas pour cause le régime national-socialiste allemand (douze ans seulement : 1933-1945 !) mais l'entreprise soviétique qui, elle, a duré 75 ans, et envahi quasiment tout le XXe siècle avec sa soeur jumelle : l'entreprise sioniste !
Au travail, messieurs les historiens ! (Si vous voulez redevenir crédibles).

Aucun commentaire:

Archives du blog