La misère se répandant dans le pays, Christine Boutin propose la création d'un "revenu minimum garanti", Martin Hirsch a remplacé le RMI par le RSA... Arlette et LO voudraient que l'on interdise les licenciements ! C'est idiot. Une entreprise a besoin de "respirer", d'innover, de nouveaux emplois sont créés, d'autres disparaissent. Je propose mieux : l'abolition du chômage ! Une révolution pacifique, une transformation complète de la société, qui redonnera à la France une avance sur tout le monde dans le domaine social, une sorte de Suède méditerranéenne. Mais comment ? direz-vous. C'est très simple ! Aussi simple que l'oeuf de Christophe Colomb ! Regardez Hollande et Ayrault : vont-ils vraiment avec leurs discours alambiqués , et les mesures (impôts nouveaux) qu'ils préconisent, relancer l'économie ? Redonner confiance aux gens ? Tordre le cou aux spéculateurs et à la "dette" colossale qui nous condamne à une austérité sans fin ?
1) Il est indispensable, chacun le comprendra, que nous redevenions un pays souverain ! Pour décider et choisir notre destin, il faut être nous-mêmes. Ces fonctionnaires qui sont à Bruxelles ou ailleurs sont incapables d'inventer quoi que ce soit ! Face aux périls qui s'amoncellent, ils demeurent impuissants et il ne fait aucun doute que l'issue sera fatale. Tout comme la ligne Maginot qui devait nous protéger, le résultat fut l'inverse : elle incita les blindés d'en face à la contourner (par la Belgique !) pour foncer sur Paris, jusqu'à Brest ! L'europuscule de ces messieurs excite les spéculateurs sur les 5 continents ! Est-ce à dire qu'il faut quitter la zone euro ? Non ! L'Allemagne doit rester notre partenaire principal, évitons par conséquent de lui donner un prétexte pour nous tourner le dos !
On décide donc de redémarrer sur des bases saines : on supprime le chômage, les chômeurs. On annonce au monde : la France a résolu le problème du chômage ! Tous ceux qui sont en âge de travailler, disposant d'un emploi ou non, perçoivent un salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) : la classe salariale se compose de deux fractions : les titulaires et les réservistes.
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