dimanche, mai 06, 2007

LA "RECONNAISSANCE" DE CHIRAC EN 1995

Balladur , "l'ottoman", n'avait aucune chance contre Chirac en 1995 ! Les Juifs, tant ashkénazes que sefarades connaissent leur histoire. Il est d'ailleurs possible que le ralliement de Nicolas Sarkozy à Balladur lui ait été dicté par le souvenir de son grand-père, juif ottoman converti au christianisme, qu'il adulait, nous dit-on. Dans le fond, Edouard Balladur et Benedict Mallah ont tous deux été "chassés" de l'Empire ottoman... par les Turcs ! Et cela pourrait expliquer également l'hostilité de Nicolas Sarkozy à l'adhésion de la Turquie à l'Europe... En tout cas, en 1995, malgré le soutien de Simone Veil, Edouard a vu son avance fondre comme neige au soleil. Chirac ne sera pas ingrat. A peine élu, il accomplira ce qu'aucun historien n'a osé "imaginer", ni aucun de ses prédécesseurs, surtout pas de Gaulle : décréter la France "responsable" de la shoa ! Le fait du Prince, absolument. Ou plus exactement celui d'un Maire de Paris "reconnaissant". Car enfin, où a-t-il été initié aux arcanes du monde juif, sinon à la Mairie de Paris ? Il n'a pas été résistant (trop jeune), il n'appartient pas au cercle des gaullistes historiques. Pompidou exécrait les "histoires de la résistance". En revanche, nous voyons bien ceux qui deviennent les habitués de l'Hôtel-de-Ville : ce sont les notables ! Chirac, lui aussi, a su se "protéger" et se garantir une longévité politique... Et Nicolas Sarkozy, le successeur auto-désigné, a bien appris la "leçon". (à suivre).

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