J'appelle donc les citoyens des 4 pays ou ensembles cités dans le titre à participer activement (avec tous ceux qui voudront s'associer à cette entreprise ambitieuse et exaltante) en rejoignant l'Association NEUF/ORIENT, déclarée en sous-préfecture à Lorient il y a déjà deux ans (et qui n'existe que sur le papier du seul fait que j'attendais d'être "de retour à Lorient"). Il s'agit d'en faire un véritable Centre de Réflexion et de Proposition. Je récapitule les principaux objectifs, étant entendu que le premier d'entre eux consiste à faire triompher la paix :
1) Rassembler tous les francophones, par étapes, en commençant par les pays les plus assimilés, dans un ensemble confédéral ou autrement (le débat est ouvert, y compris l'adhésion pure et simple de la Wallonie à la France, comme le firent il y a un peu plus d'un siècle la Savoie et le Comté de Nice). Il est certain que cette adhésion renforcerait le pays et obligerait les Européens à revoir les modalités de la construction européenne (la Grèce nous rappelant opportunément que "ça" ne tourne plus rond). Les francophones de l'ex-Belgique ont donc un rôle essentiel à jouer dans la Reconstruction... avec les francophones du Canada !
2) Proposer une solution pour résoudre le problème israélo-palestinien (avant qu'il ne soit trop tard). Ici, ce sont les Libanais, directement concernés, avec les Palestiniens, qui doivent s'impliquer dans la Reconstruction. Dans mon livre "Et si l'Italie était la solution ?" je préconise, entre autres, le transfert du Siège de l'ONU à Beyrouth, une fois réglé le problème palestinien ! A coup sûr, l'imagination doit prendre le pouvoir !
3) Un Marché Commun Méditerranéen alliant les deux rives de la Mer
4) Un Marché Commun francophone rassemblant tous les pays francophones, le tourisme cimentant l'ensemble, autour d'une Cité internationale basée à Lorient, consolidé par un "tour du monde francophone", et une cité jumelle itinérante.
5) Examiner la mise en place d'un système qui assurera à tous les membres de la communauté francophone un revenu mensuel de subsistance, ou mieux, l'abolition du chômage ! (Je suis convaincu que cela relève du possible). Les utopies en isme n'ayant plus cours, il nous faut réinventer une espérance dans le système économique qui fonctionne : le nôtre - et c'est le seul qui fonctionne ! Ça aussi, c'est un défi qu'il nous faut relever, sous peine de voir partout les "casseurs" casser... sans reconstruire, l'Asie s'emparant peu à peu de l'essentiel des activités !
J'en termine ici provisoirement, mais je réitère mon appel en direction des 4 communautés que le destin voue, géographiquement et historiquement, semble-t-il, à agir de concert.
Lorient, juin 2011
1) Rassembler tous les francophones, par étapes, en commençant par les pays les plus assimilés, dans un ensemble confédéral ou autrement (le débat est ouvert, y compris l'adhésion pure et simple de la Wallonie à la France, comme le firent il y a un peu plus d'un siècle la Savoie et le Comté de Nice). Il est certain que cette adhésion renforcerait le pays et obligerait les Européens à revoir les modalités de la construction européenne (la Grèce nous rappelant opportunément que "ça" ne tourne plus rond). Les francophones de l'ex-Belgique ont donc un rôle essentiel à jouer dans la Reconstruction... avec les francophones du Canada !
2) Proposer une solution pour résoudre le problème israélo-palestinien (avant qu'il ne soit trop tard). Ici, ce sont les Libanais, directement concernés, avec les Palestiniens, qui doivent s'impliquer dans la Reconstruction. Dans mon livre "Et si l'Italie était la solution ?" je préconise, entre autres, le transfert du Siège de l'ONU à Beyrouth, une fois réglé le problème palestinien ! A coup sûr, l'imagination doit prendre le pouvoir !
3) Un Marché Commun Méditerranéen alliant les deux rives de la Mer
4) Un Marché Commun francophone rassemblant tous les pays francophones, le tourisme cimentant l'ensemble, autour d'une Cité internationale basée à Lorient, consolidé par un "tour du monde francophone", et une cité jumelle itinérante.
5) Examiner la mise en place d'un système qui assurera à tous les membres de la communauté francophone un revenu mensuel de subsistance, ou mieux, l'abolition du chômage ! (Je suis convaincu que cela relève du possible). Les utopies en isme n'ayant plus cours, il nous faut réinventer une espérance dans le système économique qui fonctionne : le nôtre - et c'est le seul qui fonctionne ! Ça aussi, c'est un défi qu'il nous faut relever, sous peine de voir partout les "casseurs" casser... sans reconstruire, l'Asie s'emparant peu à peu de l'essentiel des activités !
J'en termine ici provisoirement, mais je réitère mon appel en direction des 4 communautés que le destin voue, géographiquement et historiquement, semble-t-il, à agir de concert.
Lorient, juin 2011
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