Tous les francophones du monde doivent, où qu'ils se trouvent, individuellement ou collectivement, se rassembler autour de ces 4 pôles. J'ai proposé avec mon association NEUF/ORIENT basée à Lorient, en Bretagne, de créer un CENTRE DE RÉFLEXION ET DE PROPOSITION ouvert à tous ceux qui veulent participer à la RECONSTRUCTION d'un nouveau monde car, bien évidemment, le monde francophone ne restera pas à l'écart des autres : il en fait partie, ça n'est qu'une fraction de l'Humanité, et nous avons l'intention d'en être l'aiguillon dans la bataille pour la paix, et le progrès social partout. Pourquoi Lorient ? Parce que j'ai vu la ville, en 1945, complètement rasée ! En ruines, absolument, traversant des rues qui n'existaient plus, et que l'on devinait aux plaques posées à même le sol, ou contre un tas de pavés, avant de rejoindre les baraques de notre lycée rentré de Guémené là où nous venons d'enterrer notre prof de français, Yves Pérès, décédé à 90 ans.
Ma motivation est forte, je l'avoue, et sur le Quai des Indes, je retrouve ma vocation d'adolescent lorsque, les yeux ébahis devant la ville en ruines, je l'imaginais reconstruite ! C'est vrai que, dans la précipitation et l'urgence, les urbanistes n'ont guère brillé mais, peu à peu, la ville a renoué avec une certaine joie de vivre, et le célèbre festival inter-celtique, début août, fait retentir sur le Cours de la Bôve ses bagad venus de tout le monde celtique - pas seulement de Lann-Bihoué !
NEUF/ORIENT a donc pour objet de fonder une communauté internationale francophone que j'appelle Nouveaux États-Unis Francophones (NEUF), souples dans leur structure, et qui a l'avantage de laisser aux Wallons et aux Québécois (je ne mentionne que les principaux intéressés) d'y adhérer comme bon leur semble, l'essentiel étant d'être membres à part entière de cette communauté mondiale francophone. Cette appartenance peut d'ailleurs se concrétiser par une "citoyenneté mondiale francophone", la carte d'identité reflétant au verso l'identité nationale et au recto l'identité internationale francophone. Exemple : d'un côté la nationalité corse, de l'autre la citoyenneté francophone. Je cite la Corse parce qu'il me semble évident qu'elle possède deux identités (ce qui est le cas de pratiquement tous ceux qui sont extérieurs à l'hexagone, en particulier ceux des DOM-TOM). L'objectif final étant d'unifier dans un seul ensemble les 150 à 200 millions de francophones dispersés à travers le monde, que l'on peut déjà réunir dans un Marché Commun francophone. Cet ensemble tiendra alors toute sa place aux côtés des autres fractions linguistiques. (à suivre).
Ma motivation est forte, je l'avoue, et sur le Quai des Indes, je retrouve ma vocation d'adolescent lorsque, les yeux ébahis devant la ville en ruines, je l'imaginais reconstruite ! C'est vrai que, dans la précipitation et l'urgence, les urbanistes n'ont guère brillé mais, peu à peu, la ville a renoué avec une certaine joie de vivre, et le célèbre festival inter-celtique, début août, fait retentir sur le Cours de la Bôve ses bagad venus de tout le monde celtique - pas seulement de Lann-Bihoué !
NEUF/ORIENT a donc pour objet de fonder une communauté internationale francophone que j'appelle Nouveaux États-Unis Francophones (NEUF), souples dans leur structure, et qui a l'avantage de laisser aux Wallons et aux Québécois (je ne mentionne que les principaux intéressés) d'y adhérer comme bon leur semble, l'essentiel étant d'être membres à part entière de cette communauté mondiale francophone. Cette appartenance peut d'ailleurs se concrétiser par une "citoyenneté mondiale francophone", la carte d'identité reflétant au verso l'identité nationale et au recto l'identité internationale francophone. Exemple : d'un côté la nationalité corse, de l'autre la citoyenneté francophone. Je cite la Corse parce qu'il me semble évident qu'elle possède deux identités (ce qui est le cas de pratiquement tous ceux qui sont extérieurs à l'hexagone, en particulier ceux des DOM-TOM). L'objectif final étant d'unifier dans un seul ensemble les 150 à 200 millions de francophones dispersés à travers le monde, que l'on peut déjà réunir dans un Marché Commun francophone. Cet ensemble tiendra alors toute sa place aux côtés des autres fractions linguistiques. (à suivre).
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